« Bonjour Paresse, De l’art et de la nécessité d’en faire le moins possible en entreprise », Michalon, France, 2004, paru en poche, « Folio ». Une vingtaine de traductions (anglais, allemand, italien, japonais, chinois, russe, espagnol…)
L’entreprise, personne n’y croit plus mais tout le monde fait semblant. Mélange de bureaucratie lourdingue et de cynisme libéral, la grosse boîte montre ici son vrai visage, inhumain et grotesque à la fois. Les centaines d’articles et commentaires de tout poil consacrés à mon livre, devenu un best-seller, se sont interrogés avec angoisse : serait-ce la fin d’un empire ? Moi aussi, je me le demande…